Des trois enquêtes GEM menées au Cameroun de 2014 à 2016, on peut relever trois paradoxes 1- De l’existence d’un dispositif pour assainir l’environnement des affaires mais qui peine à obtenir des résultats escomptés à savoir : - Attirer plus d’investisseur - Favoriser la création de nouvelles entreprises - Faciliter le passage des entreprises de l’informel dans le formel 2- Une volonté d’entreprendre qui contraste avec une durée de vie limitée des entreprises. Au cours des trois années le TEA est resté élevé, mais le taux d’entreprises établies est demeuré faible. Par ailleurs entre entrepreneuriat de nécessité et entrepreneuriat d’opportunité, la frontière est loin d’être étanche 3- Un dispositif d’accompagnement encore peu efficace qui reste encore éloigné des préoccupations des entreprises accompagnées